Une comédienne et une chanteuse lisent des contes de Maupassant et chantent des airs de son temps

Deux voix, celle d’une comédienne et celle d’une chanteuse font revivre à vos oreilles quelques-unes des histoires tendres et crues, légères et cruelles, drôles et nostalgiques du maître de la Nouvelle et du Conte pittoresque, le nommé Maupassant… Au détour d’un tableau, d’un dialogue enlevé, une chanson vient aux lèvres, un petit air charmant, de ceux que l’on fredonne de pays en pays et de siècles en siècles. Un éventail de cinq courtes histoires lues, et autant de petites pièces vocales ou instrumentales, brodent notre « veillée », déclinant l’Amour sous quelques-unes de ses coutures… avec pour point ultime une délicieuse ode au passé, où la poésie du dandy des bords de Seine s’épanouit en toute simplicité. Pour le plaisir de l’ouïe, du coeur et de l’esprit, promenons-nous une heure durant sur les chemins de boue et d’or tracés par Maupassant et par la verve populaire, tous deux si joyeux connaisseurs du genre humain !

Nouvelles extraites des Contes de la Bécasse, des Contes du Jour et de la Nuit et du recueil intitulé l’Inutile beauté, ainsi que d’une chronique parue dans Le Gaulois sur l’Art de rompre.

Musiques de Déodat de Séverac, Colette Magny, François Couperin, chansons traditionnelles de Normandie.

Titres des Nouvelles lues

• Rose (Contes du jour et de la nuit)
• La Rempailleuse (Contes de la Bécasse)
• Un coq chanta (Contes de la Bécasse)
• L’Art de rompre (paru dans Le Gaulois, 1881)
• Mouche (L’écho de Paris, 1890)
• Menuet (Contes de la Bécasse)

Musiques jouées et chantées

• Vaudeville de batelières de St Cloud, Déodat de Séverac
• La délaissée, traditionnel
• Chanson en Canot, Colette Magny
• Les barricades Mystérieuses, d’après François Couperin
• Marguerite est au bord du bois, traditionnel
• Contredanses issues de Rondes éditées par Ballard en 1724